Les Hameaux de Samoëns

Une balade toute proche du village de Samoëns mêlant patrimoine naturel, culturel et architectural, qui plongera le visiteur au cœur du bâti traditionnel et de la ruralité.

Départ : village de Samoëns (700 mètres)
Durée : 2h30
Altitude maximale : 1000 mètres
Dénivelé total : 300 mètres
Saisons conseillées du printemps à l’automne.
Carte IGN top 25 n° 3530 ET

Accès voiture : En venant de Taninges, à l’entrée de Samoëns, vous apercevrez un portique enjambant la route, vous pourrez alors vous garer sur une grande place à côté de la chapelle des Bérouze.

De la chapelle des Bérouze, passez dans le hameau et dirigez-vous vers ” Le Clos Parchet ” qui sera votre direction principale tout au long de votre randonnée. Poursuivez sur la route qui forme bientôt une épingle à cheveux, continuez alors tout droit par le chemin balisé qui vous conduit au lieu-dit « les Mouilles ». Suivez toujours le balisage pour atteindre les « Noyerets » (situé à 30 minutes de votre départ).

Reprenez la route pour rejoindre « Secouen ». Notez qu’une variante est également possible à partir des « Noyerets ». Elle vous rallongera d’une dizaine de minutes : Au « Noyerets », suivez la route qui descend tranquillement en direction du « Villard ». Dans le hameau, montez à droite, direction « Le Clos Parchet » pour atteindre « la Croix ». Vous passerez devant un ancien moulin puis à droite d’une maison, une montée assez raide vous conduira sur le bas de « Secouen ». La piste située à droite vous conduira à l’oratoire, poursuivez ensuite sur votre à gauche. Prenez le temps de faire une pause pour admirer les deux splendides fermes qui vous entourent. Contournez la ferme située sur votre gauche et reprenez encore à gauche pour rejoindre le chemin qui traverse le hameau. Vous retrouverez alors l’itinéraire « classique ».

Montez par le sentier herbeux pour aller à « Mathonnex ». Regagnez la route et poursuivez à gauche vers le four à pain puis montez à la chapelle, contournez-la et prenez la route descendante à votre droite. Vous passez le hameau et repartez sur le chemin balisé en direction « Clos Pitton » / « Clos Parchet ».

Vous gagnez le « Clos Parchet ». Il vous restera environ 1 heure de marche pour atteindre votre point d’arrivée. Votre chemin débouche devant un bassin étonnant, poursuivez jusqu’à l’Écomusée situé à une cinquantaine de mètres plus loin. Cet écomusée peut se visiter.
Renseignements sur : http://www.le-clos-parchet.com/

Rejoignez la route à droite et suivez la direction de « Vigny ». À la Combe-aux-Flés, située dans un virage, prenez à droite le chemin herbeux qui devient ensuite caillouteux. Poursuivez jusqu’à apercevoir une maison en contrebas, partez alors à gauche au-dessus de cette maison, puis, juste après, à droite par le sentier pour rejoindre la route que vous suivez jusqu’à Vigny. Rejoignez à droite la chapelle puis poursuivez en descente par le chemin passant en dessous de cet édifice religieux.

Sur votre parcours, vous apercevrez une maison que vous contournerez par la droite pour rejoindre le sentier situé en dessous de celle-ci. Continuez jusqu’à une grosse ferme, et bifurquez à droite pour rejoindre la route que vous suivez direction « le Villard » pour atteindre « Les Noyerets ». Vous rejoignez le hameau de « Bérouze » par l’itinéraire de montée.

Marie-Luce Frescurat

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La Galoppaz dans les Bauges

La pointe de la Galoppaz est un sommet situé au sud du massif des Bauges, bien visible depuis la cluse de Chambéry, d’où il affecte la forme d’une pyramide caractéristique. Son altitude et son isolement en font un beau belvédère.

On peut partir de Puygros ou du col des Prés pour en faire l’ascension. Mais nous vous proposons l’accès par le col du Lindar, qui présente un dénivelé plus réduit avec une orientation au levant, plus agréable pour un départ matinal. Vous gagnerez ce col en passant par la station d’Aillon-le-Jeune.

Un mot d’histoire sur Aillon-le-Jeune. Les moines métallurgistes qui se sont installés à Aillon au XIIe siècle faisaient venir le minerai de fer du massif des Hurtières par la Combe de Savoie et le col de la Sciaz, que vous pourrez repérer depuis le sommet de la Galoppaz ou du chalet de la Buffaz. Pour en savoir plus sur cette histoire et, plus largement, sur le massif des Bauges, ne manquez pas de visiter le musée de la chartreuse d’Aillon-le-Jeune, en repassant par la station au retour de votre randonnée.

Cette randonnée peut se faire en boucle pour en augmenter l’intérêt. Pour ce faire, après vous être garé au col du Lindar, et avoir suivi la route d’alpage de la Buffaz sur environ 700 m, repérez le panneau “col de la Buffaz“ sur le côté gauche et lancez-vous dans les petits lacets qui montent abruptement. Vous sortirez de la forêt juste au col, avec un premier point de vue remarquable, puisque vous apercevrez le Mont-Blanc émerger au-dessus de la Dent d’Arclusaz. La suite de votre ascension s’effectue plein sud sur un sentier bien marqué qui se termine en arête. Parvenu à la pointe, vous apprécierez un vaste panorama circulaire, où vous vous plairez à reconnaître les sommets des Bauges sous des angles inhabituels : Nivolet et Peney, immense falaise du Margériaz avec le Semnoz en arrière-plan, Pointe de la Buffaz et Colombier d’Aillon, Trélod, Arcalod et Dent d’Arclusaz.

Au retour, dépassez le col de la Buffaz pour aller jusqu’au chalet d’alpage, et suivez ensuite tout simplement sa route d’accès qui vous ramènera sans coup férir au col du Lindar.

Pierre Lortet

Accès : St-Jean-d’Arvey, col des Prés, Aillon-le-Jeune et D32 jusqu’au col du Lindar.
Carte : TOP 25 massif des Bauges 3432 OT

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